Association Escape Jobs pour l’Emploi sans Carbone (EJ)
- Organisation socio-économique
- – Autre association
- Économie (nouveaux modèles)
- Nouvelle-Aquitaine
Présentation
Les préoccupations de nos proches, des interlocuteurs, des publics rencontrés, sont l’emploi, la résilience, la vie à bas niveau de carbone, comment éviter le chantage à l’emploi lorsque des entreprises sont nocives.
Chaque métier polluant qui s’arrêtera, devra être remplacé.
Il nous faut recenser les métiers qui sont respectueux des équilibres planétaires. Il faut répondre aux jeunes diplômés qui refusent de travailler pour des groupes cyniques.Le trépied de notre projet :
• aider les villes et les agglos à devenir résilientes.
• connaître et stimuler la capacité de la France et de l’Europe à assurer du travail et des ressources, au fur et à mesure de la disparition des emplois générant des GES, des pollutions et des destructions de la biosphère et des ressources irremplaçables de la planète. Avoir des réponses lors de la fermeture des usines à voiture ou à boues rouges ou à malbouffe.
• aider à la mesure carbone.
Notre organisation : un conseil d’administration, un réseau et une communication.
Qu’appelons-nous ESCAPE-JOBS, ces métiers post-pétrole sans carbone et sans pollution ?
activité non dépendante du pétrole, donc minimisant ses dérivés comme les carburants, les huiles, les plastiques, les gaz, les peintures…
réduction de la production de gaz à effet de serre GES
évitant la malbouffe et la malmode (fast-fashion)
évitant la pollution de l’atmosphère et la destruction de nos biodiversités.
En positif, on y retrouve les métiers relationnels, artisanaux et artistiques, la santé, le maraichage, l’élevage en pâturages, le transport propre, la construction bois, l’isolation des bâtiments, la pédagogie, le jeu, la sexualité, les monnaies locales, les brasseurs et vignerons, les herboristes et acupuncteurs, les apicultrices et les pêcheurs à la ligne, les réparateurs de toute sorte, en particulier ceux transformant les autos thermiques en tout ce qu’on veut, les pilotes d’éoliennes familiales…